jeudi 22 avril 2010

Galerie Aurora : Laurence Imbert Deutsch


Une petite galerie rue Mazarine, une surface d’exposition réduite pour rendre son contenu que plus intéressant. En ce moment, et pour deux semaine seulement, Laurence Imbert Deutsch expose ses peintures. Peintre, sculpteur, actrice et comédienne Laurence Imbert Deutsch ne se lasse pas de transmettre une forme d’émotion a son public.

Une technique certes pour le moins maladroite mais d’un investissement personnel sincère l’exposition de la galerie Aurora présente ses peintures de l’année 2009/2010.

La peintre est une femme d’une extrême sensibilité, elle capture toutes les émotions du monde et les réinvente dans son art , que ce soit peinture, écriture ou sculpture.

De l’acrylique sur petit format de toile le dispute à la pâte dégoulinante sur plexi ou au grand format proposé d’entrée de jeux au spectateur lors de son entré dans la galerie. Dans ce travail la couleur est mise a l’honneur une référence « musicale » nous confessera l’artiste. On retrouve ici avec un peu de recul la posture de Kandinsky dans son rapport à la peinture et à l’art musical. Dans Du spirituel dans l’art, ouvrage bien connu du maître, le peintre défini l’art abstrait à son apogée comme musical. « si l’art abstrait est l’expression direct du spirituel humain (entendu comme extériorisation de sa pensée) alors l’abstraction créative ne serait être autre que musical. »

C’est la démarche que l’on peu tirer à première vue de la « tonalité » du travail de Laurence Imbert deutsch dans sa recherche permanente d’expression artistique. Il ne s’agit pas là de démontrer une forme de maîtrise du médium mais véritablement de peindre de façon presque instantanée l’état d’esprit du moment, à la façon de l’écriture automatique surréaliste.

Lors d’un entretien avec l’artiste elle nous confie que son rapport à la figurativitée et à l’abstraction tient du « rêve ».

_ « je n’es rien contre la figuration, ni contre l’abstraction seul conte le détachement de la réalité et la création artistique. »

Le rapport utopique à la création donne une couleur juvénile à l’œuvre, les petits personnages tombants (un investissement personnel en rapport avec le 11 septembre 2001) dans le vide de l’espace pictural ou le rapport du micro au macro (une référence encor ici à l’œuvre du maître russe) dans la peinture le confirme.

« je n’ai aucune formation plastique » , poussé par des artistes comme valério adami, Laurence Imbert Deutsch nous livre pour un moment à la galerie aurora ses émotions, son travail mais aussi par son sourire et sa gentillesse, son bonheur de vivre qui marque tout autant sa présentation au public.

2 commentaires:

  1. Hey ma Poule!!!!!!!!!!!
    Je me souviens que tu m'disais tu aimais Sub Focus.....ch'uis en train là tu voiss!!!
    Tiens : http://www.youtube.com/watch?v=IkDhEn-piBs

    Ha ha Ha!!!!!!!!!!!!!!

    BGI DRUMMMMMMMMMMMMMMM!!!!!!!!!!!!!!

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  2. Tiens et va écouter ça!!!!!!!
    Mais va jusqu'au bout!!!!!!! Tu va voir la percu mon pôvre!!!!!!!

    http://soundcloud.com/nqp/karachi-style

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